Le secteur immobilier après la crise : quel bilan en vue du « monde de demain » ?

L’immobilier n’a pas été impacté de manière uniforme par la crise sanitaire que nous avons traversée et dont nous espérons maintenant sortir.

Si le marché résidentiel se montre résistant, l’immobilier professionnel continue à être fortement ralenti bien que les conséquences de la crise ne soient pas homogènes selon les différents marchés.

Alors que l’immobilier commercial a été le plus visiblement touché par les fermetures des commerces, restaurants ou hôtels, c’est certainement l’immobilier de bureau qui sera le plus durablement touché. En effet, la crise sanitaire est venue accélérer de manière extraordinaire de nouveaux modes de travail qui semblent s’installer dans la durée.  

L’immobilier de production et de stockage apparaît quant à lui comme le grand gagnant de cette période : la banalisation du commerce en ligne et des services de vente laisse à penser que le besoin de locaux de stockage et de production ne cessera d’augmenter dans les années à venir.

Ainsi, la crise sanitaire, si elle a surtout eu un effet d’accélérateur de tendances préexistantes, a néanmoins conduit les acteurs de l’immobilier professionnel à s’adapter rapidement.

C’est dans l’optique d’accompagner ces évolutions que les notaires de KL Conseil se penchent, dans cette newsletter, sur les contraintes, tendances et opportunités du marché -à l’image de la transformation de bureaux en logements-, et décryptent les nouvelles règlementations auxquelles acteurs de l’immobilier doivent se conformer.

Bonne lecture.